Notre équipe à Soleure: Tobie Quartenoud

Tobie, 25 ans, étudiant en master, a commencé ses études de philologie classique et de français à l’université de Fribourg en 2013. Lecteur d’auteurs antiques, il se réjouit de participer pour la première fois aux journées littéraires de Soleure. En effet, il pourra être actif et même s’entretenir avec des auteurs suisses, ce qu’il ne peut pas faire avec Virgile et Sapphô par exemple. Il a déjà visité le Salon du livre à Genève plusieurs fois et s’impatiente de découvrir cet événement grâce auquel il pourra élargir ses connaissances littéraires.

Notre équipe à Soleure: Agathe Herold

C’est au contact de Virgile et d’Homère qu’Agathe Herold développe son goût pour la littérature. Prix Maurice Chappaz en 2012 et 2014, elle travaille sous la direction de l’auteur Bastien Fournier pour l’écriture de ses premiers textes et publie Les Héroïnes aux Éditions de l’Hèbe dans le cadre du Prix Interrégional Jeunes Auteurs. Étudiante en littérature française et en géographie à l’université de Fribourg, elle s’intéresse à l’étude des sources, l’intertextualité et la génétique textuelle.

Notre équipe à Soleure: Florine de Torrenté

Florine de Torrenté étudie la littérature française et la philosophie à l’université de Fribourg. Sensible à ce qu’un auteur souhaite offrir de lui, elle cherche dans chaque œuvre la part de vécu qui dialogue avec la fiction. Ce qui l’intéresse tout particulièrement, c’est de découvrir de jeunes auteurs tels Matthieu Ruf (Percussions) ou Florian Sägesser (Point de suture) qui décrivent, chacun à sa manière, l’influence du passé sur la construction du présent.

Notre équipe à Soleure: Valentin Kolly

Valentin Kolly étudie la littérature française et l’histoire à l’université de Fribourg. Il s’intéresse tout particulièrement à une littérature contemporaine émanant des milieux ruraux et prépare actuellement un travail de mémoire consacré à Pierre Bergounioux. Actif dans les milieux de la critique et de l’édition, il fait partie des comités de lecture de la revue fribourgeoise L’Épître ainsi que des PLF, les Presses Littéraires de Fribourg.

Notre équipe à Soleure: Aminoël Meylan

Originaire du Gros-de-Vaud et après une maturité gymnasiale à Lausanne, Aminoël Meylan quitte les bords du lac Léman pour venir compléter un Bachelor de français et de philosophie à l’Université de Fribourg où il étudie actuellement pour un Master de français médiéval. Outre une passion non-dissimulée pour la philologie romane, il enseigne également l’improvisation théâtrale aux enfants, adolescents et adultes dans le cadre d’Impro Suisse, participant à l’occasion à des matchs, tournois et concepts improvisés en tant qu’acteur, animateur ou musicien, et ce dans toute la francophonie.

Notre équipe à Soleure: Louise Moulin.

C’est au contact du Voyage au bout de la nuit, au collège, que Louise réalise que la littérature peut offrir infiniment plus qu’un simple divertissement. Sa maturité en poche, elle s’inscrit en lettres sans imaginer qu’elle tombera amoureuse du Grand siècle. Elle garde malgré tout un ancrage contemporain en participant en tant que critique à L’Epître, revue romande de littérature très courte, ainsi qu’aux délibérations du choix suisse du Prix Goncourt.

Notre équipe à Soleure: Matthieu Corpataux

Matthieu Corpataux étudie la littérature française à l’université de Fribourg et écrit son Mémoire sur la typographie dans la poésie. Il s’engage dans de nombreux projets culturels (Goncourt Suisse, Théâtre des Osses, FriScènes, FIFF) et participe à diverses revues (La Cinquième Saison, Sept info). Il dirige la revue littéraire L’Épître (qu’il a fondée en 2013) et la maison d’édition des PLF (Presses littéraires de Fribourg, créée en 2014). Il participe au lancement de l’Année du livre en 2018.

Notre équipe à Soleure: Pierre Muresan

Poète en devenir, c’est en découvrant Les fleurs du mal, à l’âge de 15 ans, que Pierre Muresan développe son goût pour la littérature. Né en 1993 à Berne, il décide d’étudier les lettres, d’abord à Berne, puis à l’université de Fribourg. La diversité linguistique est une richesse qui n’a pas fini de le séduire. Il a d’ailleurs commencé à traduire de la poésie russe (2017), et prévoit d’apprendre le roumain, qui sera sa neuvième langue.